mercredi 9 mai 2012

Graver Maintenant 2012 par Christine Moissinac




GRAVER MAINTENANT, Salon annuel à l’Espace Renoir et à l’Ermitage, Rueil-Malmaison (mars- avril)
Cette association qui rassemble près de 40 artistes, permet d’avoir une large vue sur le paysage de l’estampe en France, et même plus, car sont invités 17 artistes nouveaux dont des étrangers. Nous avions déjà dit apprécier le travail de plusieurs des membres de l’association, les compositions abstraites et sensibles d’Anne Paulus, les bois, animaliers cette fois-ci, de Thérèse Boucraut, les évocations sensibles de Catherine Gillet, les personnages esseulés de Corie Bizouard, le monde herbu de Solberg, les bibliothèques minimalistes d’Isabel Mouttet et le travail rigoureux de Claude Bureau. Parmi les invités, le travail secret de Mathieu Perramant nous a séduit, ainsi que ceux, poétiques de Brigitte Pazot et de Pascal Andrault, Mais difficile de tout citer, compte tenu de l’ampleur de cette présentation. A l’Ermitage en complément, dans un décor plus intime, la confrontation entre des oeuvres très différentes réjouit l’esprit ! Sans encore une fois pouvoir tout citer, la sobriété plastique d’Allirand, les constructions de Dominique Moindraut, les personnages attachants de Christine
C. Bureau, Scarification
C. Gendre-Bergère ; Me, myself and I , 75x100
J. Dumont www.gravermaintenant.com
Gendre-Bergère et les jeux de textes, de papiers et d’images de Joëlle Dumont excitent la curiosité du visiteur et font naître une sorte d’émerveillement, admiratif de cette diversité. La créativité – et le talent – se détachent des limites traditionnelles et c’est bien ainsi. Avec si peu, on offre tellement





C. Gendre-Bergère ; Me, myself and I , 75x100




J. Dumont www.gravermaintenant.com



C. Bureau, Scarification





Les jeux de textes, de papiers et d’images de Joëlle Dumont excitent la curiosité du visiteur et font naître une sorte d’émerveillement, admiratif de cette diversité. La créativité – et le talent – se détachent des limites traditionnelles et c’est bien ainsi. Avec si peu, on offre tellement