Hommage à Luba Hoffmeyer-Lubimova
La langue russe est éternelle
Dans une seule syllabe russe
Résonne la voix de mille siècles
Qui serait à l’étroit
Dans une syllabe russe
Moi je ne parle pas le russe
Mais sa langue
Voyage en moi
Telle une oie sauvage
La terre peut trembler
L’univers peut s’écrouler
La mort peut nous séparer
Mais dans le bulbe
D’une syllabe russe
Dort toujours
Le monde entier
Jean Henrion (Pour Luba que j'ai exposée!)
Merci Luba si présente dans mon quotidien ...Denise Pelletier